« PUTAIN, AHÀRON ! ». Voilà comment je me fit réveiller un Samedi matin. J'entendais les cris de mon père qui était au rez de chaussé comme si il avait été a côté de moi. Je grimaça, car personne de sains d'esprit n'était reveiller a sept heure du mat' tapante. Mon père, il est pas encore couché. Il travaillait toujours très tard et depuis un certain temps, ma chère mère avait commencer a deprimmer en français. Heureusement pour moi, je n'était pas totalement bilingue. Je prit le premier t-shirt que rencontra mes doigts et je l'enfila. Je m'était endormi dans mes jeans. Du coup, je fut finalement prêt a sortir de cette maison étouffante qu'est la mienne. J'ai hâte de quitter Jake Town. Pourtant, il y a des personnes que je ne suis pas prêt a laisser : Aleksie, Ellwelynn, Jheylann, Isobel ... Une fois arrivé a l'extérieur, j'inspira profondément. J'ignorait ce que j'avais fait pour mettre le vieux dans tout ses etats et je ne voulais pas le savoir. Je ne savais pas où aller. Normalement, j'allais chez Jheylann. Depuis ma connerie, j'allais soit chez Ellwelynn ou Aleksie. La première allait probablement me tuer si j'allais la réveiller de si bonne heure. La deuxième aussi, mais elle devenait carrément habituée au comportement de gamin que j'aborde toujours. D'ailleur, Leksie était celle qui risquait le plus de vouloir m'ecorché vivant. Je tourna des talons, direction son appartement. Il avait hâte de voir la tête qu'elle ferait. 

Être le meilleur ami de quelqu'un ça a des avantages. Le premier est que j'ai toujours eu un double de leur clés de maison. J'avais donc en ma possession la clés de l'appartement de Leksie. J'entra rapidement sans faire de bruit, puis referma la porte. Tout était calme, tout était bien rangé. Je me dirigea vers la chambre de la brunette, sans le moindre effort. C'était un peu comme une seconde maison. Je la vit sous ses couvertures. Elle semblait angéliques. Je savais bien que ce ne serait pas pour longtemps. Je prit ses couvertures et les enmmena avec moi. Elle allait avoir froid la petite Woodstock. Je me dirigea vers la cuisine et je mangea des céréales que j'avais laisser là, la semaine dernière tout en écoutant une émission de merde a la télévison. Après une heure j'en eu assez et je prit les choses en main. Je retourna donc vers la chambre d'Aleksie. « ON SE BOUGE, PLUS VITE QUE ÇA ! » je vit ma meilleure amie avoir le saut de sa vie. J'éclata de rire, avant de la tirer du lit, afin de l'attirer vers la salle de bain, où elle aurait le droit a une bonne douche froide.

Ahàron&Aleksie
I’m not perfect but I keep trying. Cause that’s
what I said I would do from the start - PERFECT.

La forêt était inondée d’une noirceur quasi-totale. Aucun bruit ne se faisait entendre, seulement le chant désastreux de ces corbeaux. Pleins de légendes entouraient ses immondes oiseaux noirs, qui faisaient peur à tous les habitants de Jake Town. Je me promenais dans la forêt afin de trouver un racoin où je pourrais être seule pour afin penser en paix. Les vents froids créèrent, au contact de mon corps, de légers frissons inconfortables. J’avais enfin trouvé, après quelques dizaines de minutes de marche, le coin parfait pour être en harmonie avec moi-même. Je pris place sur la souche d’un arbre, pensant à tout ce qu’il pouvait bien se passer dans ma vie. Le chant des corbeaux se faisait plus fort. De nouveaux venus vinrent se joindre aux autres sur l’énorme branche qui était relié à l’un des plus gros arbres de la forêt. J’étais sûrement la seule fille qui n’était pas impressionné par toutes les légendes et qui était effrayé par ces omnivores. Tout d’un coup, il prit vole et se dirigea à grande vitesse sur moi. Paniquée, je me levai le plus vite possible et je couru autant que je le pu. Parcourant cette forêt pleine d’obstacle, je courais rapidement. Puis, malheureusement, une branche se plaça dans mon chemin. Résultat, me fracassant sur celle-ci, je tombai sur le dos, perdant tous mes moyens de m’enfuir. Les corbeaux se réunirent tous autour de moi contemplant leurs repas. Une voix arrêta se cauchemar épouvantable. « ON SE BOUGE, PLUS VITE QUE ÇA ! » En entendant cette voix masculine, je me levai immédiatement, faisait le plus gros saut de ma vie. Un peu endormi je me frottai les yeux, remarquant que c’était encore une autre fois, Horswood qui venait me réveiller. Il c’était découvert une passion subite de me réveiller ces derniers temps. « t’es malade, j’aurais pu faire une crise cardiaque ! » Celui-ci me leva de mon lit, puis m’amena vers la salle de bain, pour que je puisse prendre ma douche matinale habituelle. Après quelques minutes passées sous l’eau chaude, je sortis voulant assassiner Ahàron, cette chose qui me servait de meilleur ami.

N’étant toujours pas réveillé, je me rendis compte que j’avais oublié d’amener des vêtements, puis qu’Ahàron m’avait totalement projeté dans la salle de bain ne me lançant pas le temps de faire quoi que se soit. Je sortis, alors, la serviette autour de moi ne voulant pas me faire voir par ce pervers qu’est Horswood. Je première paire short en jeans, qui se tenait sous ma main puis, une camisole plutôt banale. Je retournai dans la salle de bain prenant bien soin de regarder Ahàron qui se trouvait sur mon lit. J’enfilai rapidement ce que j’avais décidé de porter puis, je me coiffai légèrement laissant mes cheveux tomber sur mes épaules. Horswood, était sûrement l’homme qui faisait le plus rêver dans Jake Town. Il avait vraiment tous pour lui ; la beauté, la popularité, la personnalité et j’en passe. Dans notre petite ville, je peux vous dire qu’il est faisait bien des jaloux, qui espéraient devenir comme lui un jour. S’il n’était pas mon meilleur ami, peut-être comme toutes les autres, j’aurais tombé sous son charme, mais pour le moment, c’est seulement de l’amitié, enfin je crois. Je sortis de la salle de bain, laissant un vague de chaleur sortir de celle-ci en même temps que moi. « Je vais t’assassiner Ahàron Kaeden Horswood. Essai même pas de t’enfuir je vais t’attraper quand même »

« t’es malade, j’aurais pu faire une crise cardiaque ! » mon grand rire sonore résona dans la maison vide d'habitants a part moi et ma meilleure amie. J'adorais la façon exagérée d'aleksie de ne faire savoir que j'allais passer un sale quart d'heure. God, que j'adorait lorsqu'elle se réveillait le matin. Depuis quelques temps, ça en était devenu une passion. Jusqu'à où ma meilleure amie irait-elle pour que je la laisse en paix? Lorsque je le voulait, je pouvait être un éternel enfant. Ce qui était étrange, c'était les lego que j'avais encore dans ma petite table de chevet qui côtoyaient mes cigarettes que je m'eforçait de cacher a ma mère un peu trop aimante. Je serais toujours un grand immature. Et réveiller ma meilleure amie, faisait parti de mes nombreux charmes. « Woodstock. Tu sais très bien que j'taurais réanimée. »

Je la prend par les bras et je l'oblige a aller prendre sa douche. Je sais pertinemment qu'aucune remarque cinglante ne viendrait d'elle si elle n'était pas un peu réveillée. Je la laissa prendre sa douche, m'assoiyant sur son lit. Je la chronomètra, n'ayant pas l'intention de la laisser s'eternisé. Quel ne fut ma surprise lorsqu'elle en ressorti seulement vêtue d'une serviette. Elle me regarda, carrément méfiante. Il y avait de quoi. Putain, cette fille , elle est carrément canon. J'suis un mec et c'est ça que je fait le mieux. Mater les jolies fille. Même si elles sont mes meilleures amies. Je ne pouvait me considéré que chanceux. J'etait d'ailleur considéré comme le mec le plus chanceux de cette putain de terre. J'entendais souvent les mecs de l'université chuchoter dans mon dos que mon ex, elle était chaude, que mon amie blonde c'est une bombe ou que ma copine brune est carrément torride. J'suis un putain de veinard. Bref, Aleksie prit ses vêtements et reparti vers la salle de bain. Je m'amusa a pianoter sur mon portable et j'envoya un texto disant '' Eze', jsuis le veinard du jour : devine qui c'est qui est dans le lit d'Aleksie Woodstock ? '' Elle allait probablement me tuer d'envoyer un SMS de la sorte, mais elle ne restait jamais fâchée contre moi. Elle ressorti, toute fraiche, toute prête a reprendre sa vengeance. « Je vais t’assassiner Ahàron Kaeden Horswood. Essai même pas de t’enfuir je vais t’attraper quand même » je me leva avec l'intention de la faire courir. « Alors, que le meilleur gagne.  » Pas question qu'elle l'attrappe et qu'elle fasse comme lorsqu'on etait plus jeune. Je ne me laisserai plus jamais maquiller par une brune qui aimait me mettre du gloss. On se poursuivit pendant un moment, puis je l'entraîna dans la salle de bain encore une fois. Sauf que cette fois-ci elle ne m'echapperais pas. Je la prit par la taille, puis alluma la douche. J'eu le temps de la régler a l'eau froide avant qu'elle n'asperge ma meilleure amie. Qui vraisemblablement ne m'aimerais plus beaucoup par après.

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« Alors, que le meilleur gagne. » Cette parole me rappelait l'époque où nous nous bataillions, puis qu'à chaque fois je gagnais. Le pauvre devait sur faire maquiller de gloss, ayant perdu contre moi. Lorsque j'amenais la trousse de maquillage argent de ma mère, il savait très bien ce qu'il l'attendait ; une transformation en fille. Surtout qu'à cette âge, je ne savais même pas mettre de gloss correctement, résultat, il en avait partout sur la figure. Je peux vous garantir, qu'il était très beau transformé en fille, un très bel hermaphrodite. Toutefois, je l'aime beaucoup mieux en garçon! Il était près à me faire courir et tous le monde saient que je suis loin d'être une vedette de course, alors je n'ai pas pu l'attraper. À mon plus grand désespoir il revint et m'amena dans la salle de bain, posa ses mains chaudes sur mes hanches puis, ouvrit la douche à la température la plus froide. J'étais frigorifié, je tremblais sur place essayant tant bien que mal de changer cette eau glacée par de l'eau chaude. Voyant qu'il n'était pas près à me laisser faire, je pris son chandail à deux mains puis, je le tira dans la douche avec moi. Je savais que comparé à moi, lui, n'avait pas de vêtement pour se changer. Disons que la douche était légèrement petite pour deux personnes. Heureusement je réussis, enfin, à changer la température pour de l'eau chaude, puis je réussis, par la suite, à sortir de cette douche. Avant, je me concentrais à réchauffer mon corps plutôt qu'à m'en aller. Je m'enfuis de la salle de bain prenant ma serviette au passage. « Sérieusement, ya pas plus con que toi Horswood » Je tentai desespérement de réchauffer mon corps si froid, puis je décida d'enfiler d'autres vêtements trouvant que ceux-ci étaient bien trop trempé.

Ensuite, je suis allé dans la cuisine pour prendre ma revanche. J'amenai alors, du verre d'eau qui ne servait pas enfaîte à me rassasier. Arrivée près d'Ahàron, je vidai le verre rempli d'eaux et de glaçons dans les pantalons de celui-ci, puis reparti à la course, dans le salon afin de me protèger à l'aide du divan de couleur noir. Je vis celui-ci arriver assez en colère, mais c'était lui qui avait commencé, je n'avais fait que me protèger. Je crois que s'est permis de se défendre dans notre société. « N'essais même pas d'avancer d'un pas Horswood ! » Putain, qu'il était magnifique cet homme, je n'en revenais même pas. Sérieusement, comment voulez-vous vous en prendre à un homme qui parraît si angélique ? Il parraît, mais je peux vous dire qu'il est loin d'être un ange ! Je le vis continuer dans ma direction, j'avais peur de la nouvelle maniquance qu'il avait en tête. Toutefois, je ne savais pas ce qu'il pouvait faire de plus. Il est très ingénieux ce petit Horswood. Je lui souria amicalement, espèrant qu'il ne trouve pas un autre châtiment à me faire subir. Déjà que l'épisode de la douche glacée avait été souffrant ! J'en suis pratiquement ressorti les lèvres bleus. Je grelotais même encore.

La Woodstock, elle est intelligente. Lorsque je l'obligea a entrer dans la douche froide, elle m'y entraina de force. Évidemment, je fut mouiller en a peine quelques secondes et j'en fut frigorifié. La brunette trouva un moyen de monter la temperature de l'eau, et bientôt une eau chaude me tomba sur la tête. Nous étions coincés dans cette douche. Elle n sorti donc et tout en attrapant sa serviette, elle me dit. « Sérieusement, ya pas plus con que toi Horswood » J'eclata de mon rire grave avant d'arrêter la douche. Jetait totalement trempé.  « J'taime aussi Woodstock » Alors qu'elle déguerpissait, je prit également une serviette afin de m'essuyer. Je n'avais pas enmmener de linge de rechange, donc je resterais probablement trempé. J'apercus alors la sècheuse. Je retira mon chandail et je le fourra a l'intérieur. Je parti a la recherche de cette peste, et je la trouva. Un peu trop tard, car elle décida de verser un verre d'eau rempli avec des glaçons dans mes pentalons. Je Jura en français entre mes dents. Elle allait amèrement regretter de m'avoir fait cela. Je la pourchassa dans la maison, lorsque je la vit finalement derrière le divan noir, je lui lança un sourire ironique. Elle allait payer. C'était certain. Certes il était un peu en colère, il avait couru après de toute façon. 

« N'essais même pas d'avancer d'un pas Horswood ! » je grimaça. Elle était drôle. J'avança d'un pas pour voir ce qu'elle allait faire. Vouant qu'elle était sur ses gardes, je me rua vers elle, et la captura dans ses bras. Elle avait peut être gagner toute leurs petites bagarres jusqu'à présent. Honnêtement, je l'avait toujours laisser gagner. Il n'était pas question cette fois-ci qu'elle gagne. Je la chatouilla sans merci, il n'était pas question qu'elle m'échappe. Une chance pour elle, je n'était pas rancunier. Après un moment, je n'en pu plus. C'était épuisant a la longue de maintenir quelqu'un pendant qu'elle ne se debatte. Je la serra contre moi, pleurant presque de rire. Sans que je ne puisse y faire quoique ce soit, le bordel qu'était ma vie me revint en tête. Parceque tout ce que je fait dans ma vie, c'est jouer avec les sentiments des autres, je me pencha sur ma meilleure amie et je l'embrassa. Je n'arrivait pas a croire que je ne l'avait jamais fait avant.

Ahàron&Aleksie
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« J'taime aussi Woodstock » Était-ce qu’une relation d’amitié? Pour moi, personnellement, oui ! Malgré que la course que je venais de faire m’avait légèrement réchauffé, je tremblais encore de l’épisode de la douche. Je ne pouvais empêcher le mouvement que mes lèvres faisaient. Protégée, par le divan noir qui prenait placé dans mon salon décoré d’objets modernes, j’entendais de voir ce que mon meilleur ami allait bien pouvoir manigancer cette fois-ci. Je le vis avancer vers moi en premier lieu avec une marche plutôt, puis il se rua vers moi. Innocente, comme toujours, je restai sur place, le laissant venir à moi sans même bouger d’un pas. Comme plan B, il avait décidé de me chatouiller à n’en plus finir. Je criai et ria comme une folle lui demandant d’arrêter, mais voulant se venger il continua. Il savait très bien que j’étais une fille très même énormément chatouilleuse et il en profitait. Je pleurais de rire, de petites larmes coulaient sur mes joues. Je n’étais plus capable de m’arrêter, je riais et pleurais davantage. Horswood était bien trop fort, pour que je puisse partir. God en plus, il n’avait point de chandail. Résultat, je voyais ses muscles se contracter à chaque fois que j’essayais de m’enfuir. Je crois que je n’ai pas besoin de vous dire que j’adore son corps si parfaitement musclé. Sérieusement, je comprends de plus en plus pourquoi les filles tombent toujours sous son charme.

Après avoir rit et m’avoir chatouillé, il me lâcha et me serra contre lui riant encore de plus bel. La tête contre son torse je pouvais sentir l’odeur que j’adore tellement celle du parfum d’un homme. Je pouvais passer l’éternité dans les bras d’un homme à sentir sans arrêt son odeur corporelle. Je riais encore et des larmes habitaient encore mes joues. Son rire résonnait dans mes oreilles, puis, soudainement, il colla ses lèvres au miennes avec une douceur pratiquement irréel. J’étais tellement surprise, mais je ne pouvais pas m’empêcher de prolonger ce baiser que tant de fille aimerait recevoir de sa part. Pourtant, pourquoi moi ? Je suis seulement que sa meilleure amie ? De nos jours, embrasser sa meilleure amie est peut-être normal et est-ce normal si la meilleure amie en question aime ça ? Tant de questions s’enchainaient l’une après l’autre dans ma tête. Je posai l’une mes mains sur son torse, puis l’autre sur sa joue. Je ne comprenais même pas ce qui nous arrivait, pourquoi maintenant si nous nous connaissons depuis tellement longtemps ? Trop de question ! Je devrais arrêter et profiter du moment présent. Du contact si agréable de ses lèvres sur les miennes. Je pris une petite pose : « Tu peux m’expliquer, ce qu’on fait ? » Je ne pouvais même plus m’arrêter, immédiatement je recollai mes lèvres à celles d’Horswood.

Je ne l'avait pas laissée s'échapper. Je l'avais chatouiller comme je n'avais jamais réussi a le faire jusqu'à présent. Peut-être, car cela avait toujours été mon dernier recours. J'avait toujours trouver quelque chose d'autre a lui faire. Elle avait toujours été là pour Moi, mais elle devenait la reine des garces lorsqu'elle prenait sa vengeance sur toutes les vacheries que je lui faisait. Moi je ne reculait jamais. Jetait un Horswood. Alors je l'avait serrer dans mes bras. Sa présence était rafraichissante. Je n'avait pas peur de lui dire que je l'aimais, puisque c'était seulement en amitié. Je ne regrettait pas d'avoir coucher avec sa mère, car après tout, elle n'était plus de ce monde. Je n'avais aucun remords envers elle, tout coulait de source. Pendant un bref instant, elle me faisait oublier la merde que j'avais foutu dans ma vie et dans celle des autres. Je ne voulait pas faire de mal a personne. Je n'avais jamais voulu blesser Jheylann, je ne voudrait pas blesser Ellwelynn. Aleksie était la seule avec qui je me sentait bien sans avoir l'impression de gâcher sa vie. Avec Aleksie, rien ne demandait un effort. 

Puis toutes ces mémoires, le fait que je me sentait si bien avec elle, firent en sorte qu'intentionellement ou pas, je posa mes lèvres sur celles de ma meilleure amie. Je ne m'attendait pas a un baiser qui me ferait en vouloir un autre. Durant une majeure partie de ma vie, je me disais que ça serait glauque d'embrasser ma meilleure amie. J'avais totalement tord. C'était exactement comment vous voudriez que ça se passe. Simple, doux et passionné. Je ne savais pas quoi faire d'autre, mais je m'inquietait sérieusement du fait que j'aimais ça. J'en savourais chaque secondes, sentant sa main posé sur mon torse me brûler. Je pensais qu'elle n'aurais repousser. Qu'elle aurait été en colère. Mais elle se detacha de moi pour me demander ce que nous faisions. .« J'en sais rien, mais j'veux pas arrêter. » Elle comprennait parfaitement ce que je disait, car elle s'empara de mes lèvres avec passion. Je pouvais pas m'en lasser. Je posa mes mains sur sa taille, se dirigeant parfois sous son chandail, la serrant contre moi. La force de mon désir m'en faisait tourner la tête. Ma respiration s'accelera rapidement, car je ne prennait pas trop le temps de respirer. Je sais très bien que je ne devrais pas faire cela. L'embrasser, la toucher. Jetait complètement hors limite. Je la fit basculer sur ce divan noir. Pas moyen putain que je la lâche. J'y pouvais rien. Mais ma raison me disais d'arrêter. Malheureusement ou heureusement pour moi, je ne l'avait jamais écoutée..« Je ... On devrais ... Arrêter. » Cela paraissait que je ne croyait pas un mot de ce que je disais.

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L’amour et l’amitié c’est tellement compliqué ! Je n’en reviens même pas. Déjà que j’étais prise entre Liam et Jayson fallait-il vraiment que j’entre un nouveau garçon dans ce triangle amoureux. Liam est enfaîte mon demi-frère avec qui j’ai eu ma première vrai relation amoureuse. Le fait que je ne sois pas capable de l’oublier m’inquiète énormément. Jayson, de son côté, est mon futur mari aux yeux de ma mère. Malgré le fait que nous devions seulement jouer le jeu, j’ai commencé à avoir des sentiments pour lui. Et maintenant, mon meilleur ami que j’adore embrassé et toucher ? Je pense sérieusement à devenir une sœur quelques fois. Cela serait beaucoup plus simple, j’aurais cinquante chats. Chacun d’un me servirait de mari. Quelle belle vie ! Toutefois, j’aime bien trop les hommes pour les abandonner ainsi, pour des … chats Je ne comprenais même pas ce qu’il se passait. Ce que nous faisions et jusqu’où nous allions aller. Par ailleurs, j’étais sur et certaine qu’une relation stable entre Horswood et Woodstock était pratiquement impossible. Par contre, comme le disait si bien mon père : « Rien n’est impossible ! ». Une relation entre deux meilleurs amis peut complètement briser l’amitié où celle-ci peut rester l’amour à jamais. Au fond de moi, comme toutes les filles de ce monde, je rêvais au prince charmant, qui viendra me chercher dans sa belle décapotable rouge. Par exemple, l’amusement était, pour moi, l’important.

Nous nous embrassions encore et encore. Rien ne pouvait nous arrêter seulement l’arrivée de Jheylann ou d’Ellwelynn pouvait briser l’ambiance et la chimie qu’il avait en ce moment entre Ahàron et moi. J’avais positionné l’une de mes mains sur son torse qui était tellement chaud comparé à ma main qui était toujours froide. « Je sais pas, mais je veux pas arrêter. » De son côté, il mit ses mains sur ma taille, afin de me rapprocher de lui. Malgré le fait que j’avais un chandail, le contact de son torse nu et de mon ventre toujours voilé, créait des frissons qui parcourraient mon corps aussi vite que l’éclaire. C’était un baiser de rêve, le fait qu’il se soit passé avec mon meilleur ami est plutôt étrange. De plus en plus, ses mains furent baladeuses. Elles se promenaient à plusieurs reprises sous mon chandail légèrement étroit. Je n’étais plus capable de m’arrête et je crois que lui aussi de son côté vivait le même problème. Nous reculions de plus en plus vers le divan, puis il me fit basculer sur celui-ci assez rapidement. Par contre, malgré l’impact je continuai encore à l’embrasser avec passion. Son corps était sur le mien, son poids en muscle était sûrement très lourd, mais dans ses moments, nous n’y faisons pas attention. Il arrêta quelques secondes prononçant des syllabes ; « Je…on devrait…arrêtés. » Je le regardai fixant sur ses yeux d’un bleu incroyable. « Je te connais assez Horswood pour savoir que tu ne crois pas un mot de ce que tu viens de raconter et je suis loin de vouloir arrêter » Aussitôt, nous avons recommencé à s’embrasser avec une passion incontrôlable et inévitable.