" Alyzée, après le cours j'aimerai vous parlez ". Mais putain, il me veut quoi encore celui-là. ok, j'ai pas fait mon exposé oral, j'ai pas remis mon travail et j'arrête pas de parler avec le voisin de gauche. Mais quand même, y'exagère ? La cloche finit par sonné et vu que je suis une p'tite fille qui " écoute " quand on lui demande quelque chose, je suis rester à la fin du cours pour prendre consciente du discours stupide de mon profeusseur de science. Ce fameux prof qui crache lorsqu'il prenonce ses "R" et qui parle trop vite. Après un gros cinq minute à faire semblant de l'écouter, en fait non, je l'écoutais, mais je comprenais rien. Il finit par me laisser sortir. Comme mes cours avait été annulé pour l'après-midi , j'étais libre. Je sortie enfin de cet école de fou, je suis nouvelle a Jake town, j'aime bien l'endroit me l'école me soual complètement, je la déteste au plus au point. Demandez-moi pas pourquoi, je le sais pas moi-même. Caprice d'enfant gâtée pourris ! Comme je suis une petite nouvelle a Jake town, je ne connaîs pas beaucoup de monde, mais je sais très bien que ça ne prenderais pas beaucoup de temps pour me faire une vrai réputation. Bonne ou mauvaise, ça m'es égal, en autant que je suis connût de tous. bref, détail de ma vie qui doit sûrement paraître inutile. Je marchai tranquillement vers je ne sais où, mais je marchai pour me rendre quelque part de nouveau. J'avais envie de découvrir la ville. Je commençai à faire du jogging, question de me tenir en forme en chantant bêtement une chanson plate des années 60.

Le temps passait à une vitesse folle dans cette ville, ça faisait une éternité que j'avais prit une bonne journée pour respirer et penser à moi. Je me décidai donc à prendre le chemin du retour et aller chez moi, j'avais absolument d'une bonne douche et de sortir faire la fête. J'avais envie de boire et ne plus me souvenir de rien le lendemain matin.J'arrivai chez moi, le demi-frère était déjà sortie, donc j'en profitai pour sauté directement dans la douche. J'y restai un gros 20 minute et je débarqua de celle-ci afin de me préparer pour une soirée forte en émotion je vous le garantis. J'essayai de faire le mieux que je pouvais pour faire en sorte de ne pas trop être aguicheuse, je ne savais pas trop sur quel sorte d'homme je pouvais tomber, mais c'est claire que j'allais sûrement en profité. Je finis par quitté la maison et je me rendai directement à un petit bar près d'une forêt.J'avalai quelques drink et je commençai aussitôt a cruisé les hommes autour de moi, je n'arrêtai pas de prendre de l'alcool, je feelais carrèment pour me faire du fun et rien d'autre. Environ un heure plutard, je commençai vraiment à être complètement bourré et un homme qui m'avait l'air complètement sympathique m'invita à aller marcher dehors avec lui. pourquoi pas ? J'acceptai et je sortis. nous nous dirigâmes vers le bois, il faisait nuit et il n'avait personne dans les parages, on marchait et rendu assez loin, il commença a m'embrasser, je le repoussai, je n'avais aucune envie de l'embrasser. Il me forcai encore et encore. Il toucha mes seins, caressa mon corps de ses mains rugeuse. Je restai sur place, abasourdi par la peur, je ne savais plus quoi faire. " AU SECOOOOOOOURS "

Tirant sur la cigarette, je regardais le gars qui était en train de me parler de ses problèmes sentimentaux, me retenant de l’envoyer dans le décor. Il ne comprenait pas que son histoire m’était totalement indifférente, non il parlait sans me laisser l’opportunité d’en placer une. Je ne comprenais pas pourquoi il était venu me voir moi, alors que tranquillement appuyé contre l’arbre, je fumait clope sur clope. Il s’était présenté rapidement avant de partir dans un discours ennuyeux et je ne pouvais que le regarder complètement con face à cette évidence, celle qui était que j’étais en train de me faire avoir. Mon regard se durcit tandis que je l’observais glacial avant que je ne lâche «disparais, pauvre con. » Je n’étais pas le genre de type qu’il fallait chercher surtout quand j’étais en manque de sommeil ce qui était le cas. Me retenant de lui envoyer mon poing dans la figure, je m’éloignais rapidement avant de me diriger vers ma voiture. Je ne savais pas où était Jheylann et je m’inquiétais pour elle, sans pouvoir m’en empêcher. J’étais tellement dépendant d’elle et surtout j’étais tellement attaché à elle que je ne voulais pas qu’il lui arrive quelque chose. Cependant, un éclair de cheveux brun attira mon attention, ramenant le souvenir de ma grosse connerie, et je la vis accompagnée d’une amie. Je ne pus que sourire rassuré devant cette évidence et je pus aller prendre ma voiture sport rasséréné tout en démarrant rapidement sur le bitume m’éloignant de la fac et de cet univers pour aller me détendre au loin. En revanche je ne savais pas trop quoi faire. Bowling… Peut-être casino. Ou encore boîte. Finalement je optais pour la dernière solution bien plus simple.

Je roulais rapidement, si vite que j’aurais pu gagner une contravention facilement. Mais je m’en moquais. J’étais même prêt à faire des folies et à m’éclater. D’ailleurs, alors qu’un feu rouge éclairait la route que l’ombre recouvrait déjà, une mustang s’arrêta près de la mienne. Tournant la tête vers le type qui me fixait goguenard, avant de cracher. « Même pas cap de me suivre pauvre tâche » Son langage me fit sourire amusé, alors qu’il savait à peine parler correctement. « Tu me prends pour qui? Prépares toi à te prendre une raclée. » J’étais incapable de résister à un défi surtout de ce genre. Prêt, je l’entendis éclater de rire avant de regarder les feux tricolores, dont le vert fut bientôt à l’honneur. Relâchant le frein, ma voiture bondit fermement tandis que je fonçais, sérieusement accroché et les yeux fixé sur l’avant sur la route. Je roulais aussi par soucis de liberté car d’être ainsi à fond sur la route était pour moi une manière de dire je fais ce que je veux. Je passais la ligne d’arrivée bien avant lui mais je ne stoppais pas, roulant rapidement vers la boîte de nuit. Je n'eut pas le temps de rentrer a l'intérieur, que je voyait Alizée, une de mes bonnes amies, partir en direction des bois avec un mec vraiment bizarre. Je barra les serrure de ma voiture et je les suivit discrètement. Évidemment, je réagit au quart de tours lorsque j'entendis son cris de détresse. J'arriva en courant, débarquant le mec de sur la pauvre blonde. Je n'eu le droit comme réponse que d'un coup dans la mâchoire. Il allait retourner vers la jeune femme, alors je le frappa a mon tour. Je cogna tellement fort, que l'homme parti sans demander son reste. J'essuya le sang de ma bouche d'un revers de main. Je me pencha alors vers Alizée. je la serra dans mes bras et dit « Est ce que ça va ? »